La bibliothèque
Dès qu’il a ouvert la porte de son bureau, j’ai poussé un cri
d’émerveillement :
-Quelle bibliothèque ! C’est extraordinaire.
-Ce n’est rien par rapport à d’autres bibliothèques, celles d’écrivains célèbres
par exemple.
-Tu as au moins 5 à 6 000 livres, c’est énorme. Et tu les as
tous lus ?
-Les romans, oui, mais les essais, les manuels, les dictionnaires,
je les consulte de temps à autre, chaque fois que j’en ai besoin pour mes
recherches.
-Et tu as mis du temps pour les acheter tous ?
-J’ai commencé à lire depuis que j’étais à l’école primaire. Les livres à l’époque
étaient bon-marché surtout s’ils sont d’occasion.
-Quand tu étais à la faculté, tu consacrais certainement un petit
budget aux livres ?
-A Tunis, il y avait beaucoup de bouquinistes. Avec cinq dinars, je
pouvais acheter 2 ou 3 livres. La soif de lecture n’a pas cessé de
s’intensifier d’année en année.
-Une fois devenu professeur, le besoin de lire est devenu
impérieux ?
-Tu as raison. Un professeur digne de ce nom doit se documenter
régulièrement pour enrichir ses connaissances et répondre à toutes les
interrogations de ses élèves.
La rentrée scolaire
Le 15 septembre est la date de la rentrée scolaire. La veille, je
ne suis pas arrivé(e) à dormir tellement j’étais content(e) et excité(e).
Le fameux jour arrivé, je me lève tôt le matin. Je fais ma
toilette, je m’habille, je prends mon petit déjeuner et je me dirige vers
l’école.
Arrivé(e), je vois les élèves bien habillés, bien coiffés portant
le même uniforme. Les garçons portaient des tabliers bleus à carreaux et les
filles portaient des tabliers rouges. Quant aux maîtres et maîtresses, ils
étaient vêtus de tabliers blancs. La cloche sonne, nous sommes tous dans la
cour de l’école qui est toute propre et bien décorée. On chante l’hymne
national puisque chaque maître ou maîtresse accompagne ses apprenants jusqu’à
sa classe. Le maître se présente puis
nous demande de se présenter. Par la suite, il nous demande de chanter et de
réciter les poèmes de l’année dernière pour passer à des exercices de langue
sur le tableau. Avant de partir, il nous distribue la liste des affaires
scolaires et insiste de les procurer dans les jours qui suivent.
La naissance de ma petite
sœur
Ma mère est enceinte depuis des mois. Le médecin lui a fixé la date
de l’accouchement. Alors, elle prépare la valise du bébé. Elle y met des
bavoirs, des grenouillères, des chaussons, une couverture, des bonnets, des
tricots de corps, des gants de toilette etc. Vers 9 heures du matin, mon père
met la valise dans la malle de la voiture et prend ma mère à la clinique. Sur
son chemin, il me dépose chez grand-mère. L’après-midi, le bébé est né. Mamie
fait « des youyous ». Elle prépare de la tisane, du bouillon de
légumes et me prend avec elle à l’hôpital. Dès qu’on arrive, j’accours vers le
bébé. Quelle joie ! C’est une fille. Ses yeux sont tout petits. Elle a une
petite bouche. Son visage est rond. Elle n’a pas de cheveux mais elle est mignonne.
Je m’assois à côté de ma mère, elle me met le bébé dans les bras et me demande
de bien tenir sa tête. Peu de temps après, nous rentrons à la maison, mais ma
mère ne revient à la maison que le lendemain. A son arrivée, la maison était
propre. Ma grand-mère met du « boukhour » dans le
« kenoun ». Les tantes et les voisines arrivent. On distribue des
gâteaux et du jus. On était tous joyeux.
Le médecin
Le médecin vient au secours des malades à tout moment de la journée
ou de la nuit. Il a un cabinet ou il travaille à l’hôpital ou dans une
clinique.
Il porte une blouse blanche.
Il se sert d’un stéthoscope pour écouter les battements du cœur du malade, d’un abaisse langue pour lui examiner sa
gorge. Il se sert aussi d’un
pèse-personne pour avoir une idée sur le poids de la personne souffrante. En
cas de fièvre, il utilise une seringue pour faire une injection au malade
fiévreux. Il lui prescrit les médicaments sur une ordonnance.
Ainsi, le métier de docteur est noble mais très délicat. Il faut
être courageux, sérieux et honnête mais il faut surtout être aimable, souriant,
tendre et affectueux avec les patients.
L’enfant malade(1)
Aujourd’hui, Ahmed se réveille tard. Il a mal à la tête. Il n’a pas faim. Ses joues sont
rouges. Il a de la fièvre. Il tousse. Sa mère appelle le médecin de la famille.
Le docteur arrive. Il examine l’enfant. D’abord, il regarde le fond de sa gorge
avec un abaisse-langue. Ensuite, il écoute les battements de son cœur avec un
stéthoscope. Enfin, il lui rédige une ordonnance et lui conseille de garder le
lit pendant trois jours. La mère prend l’ordonnance et se dirige vers la
pharmacie pour chercher les médicaments. Quand elle retourne à la maison, elle prépare
une tisane pour son fils et lui donne un comprimé et une cuillère de sirop et
lui dit : « Garde le lit pendant quelques jours et prends tes
médicaments régulièrement comme a dit le médecin pour que tu guérisses ».
L’enfant malade(2)
Aujourd’hui, la journée est pluvieuse. Ahmed n’a pris ni son parapluie ni son manteau parce
que c’est le printemps. Seulement, il a oublié le fait de tomber malade même si
ce n’est pas l’hiver. Il a joué sous la
pluie et dans les flaques d’eau. En fin d’après-midi, il a commencé à se sentir
mal.
Rentrer à la maison, ses yeux étaient rouges, il était fiévreux, il
toussait, éternuait et avait des courbatures. Sa maman a appelé le médecin de
la famille. Il est arrivé à toute vitesse. Il l’a examiné puis il lui a fait
une piqûre. L’enfant a crié de douleur. Alors le médecin lui a
dit : « Ecoute mon cher petit, en avril, il ne faut enlever
aucun fil. De plus, il ne faut pas jouer sous la pluie, au contraire, il faut
bien se couvrir et il faut avoir un parapluie. »
L’enfant a remercié le médecin pour ses conseils et a pris une
leçon : dorénavant, il fera attention à sa santé.
Une mauvaise note en français(1)
Ce matin, la maîtresse nous a demandé de préparer un dossier sur
les animaux sauvages et sur les animaux domestiques. J’ai choisi de travailler
avec Sabri. Je me suis chargé de travailler avec Sabri. Je me suis chargé de
travailler sur les animaux domestiques. Deux jours après, je lui ai
demandé : »Sabri, est ce que tu avances dans le dossier ?
-
Quel
dossier ?
-
Surpris,
blême, je réplique :
-
Mais
le dossier sur les animaux !
-
Et
qui t’a dit que je vais travailler avec toi ?
-
Attristé,
contrarié, la voix entrecoupée, je lui répondis :
-
Tu
n’es ni sérieux ni gentil. Ce n’est pas grave. J’ai encore le temps. Je vais
préparer tout le dossier.
Le
lendemain, le cœur palpitant, les jambes tremblantes, je présente mon travail à
la maîtresse. Elle était très satisfaite et très fière de moi et j’ai eu la
meilleure note.
Une mauvaise note en français(2)
Aujourd’hui, c’est la date de la remise des notes du deuxième
trimestre. Je ne sais pas pourquoi, un horrible sentiment de tristesse
m’envahit. Mes yeux sont larmoyants. Mon cœur bat la chamade. Je suis angoissé
et contrarié. Soudain, l’enseignante
dit : « Mehdi !Mehdi ! » Effaré ,
chancelant, je me dirige vers le bureau
de la maîtresse. Je prends la copie d’une main tremblante. Alors, la
maîtresse me rassure gentiment : « Ce n’est rien Mehdi, tu te
rattraperas la prochaine fois ». Les larmes aux yeux, la parole
entrecoupée, je regagne ma place en disant : « Merci madame ».
Description d’un lieu
Pendant les vacances de printemps, j’ai été à Ain Draham, une
région montagneuse que j’aime beaucoup. Elle est splendide avec ses champs
verdoyants, ses arbres hauts. En effet, à la vue de cette belle nature, je me
sens léger comme un papillon qui voltige dans l’air. Je sens mes poumons se
remplir d’air pur. Je ma promène dans ses rues, je grimpe à ses montagnes pour
cueillir des plantes afin d’en faire des tisanes. Par ailleurs, la plus grande
joie, c’est quand tu achètes des souvenirs d’Ain Draham. Tu en trouve plein des
cannes, des assiettes, des bols, des cuillères. Tout est fabriqué en bois. Quel
bonheur de se rendre dans ce lieu ! Nul ne peut imaginer la beauté de
cet endroit.
L’arbre
Si j’étais un arbre, je serais un olivier . Je serais un lieu où les gens se mettraient à mon ombre
pour se protéger du soleil. Je serais utile puisque les gens goutteraient à mon
huile raffiné. Je serais aussi partisan de la nature puisque je m’adresserais
aux petits, aux jeunes et aux adultes pour les encourager et les inciter à
planter des oliviers, des chênes, des érables, des sapins et des peupliers afin
de leur permettre de respirer l’air pur. Je leur expliquerai que l’arbre est
une fête est une fête pour les yeux et qu’il est le symbole de la vie.
La solidarité et l’entraide
Pour vivre en paix, nous devrions nous entraider. Les riches
assisteraient les pauvres. Dans notre
classe, nous avons des élèves qui souffrent de la pauvreté. La directrice de
l’école nous demande d’apporter les vêtements dont on n’a plus besoin, elle les
met dans des cartons et les donne discrètement aux parents de ces écoliers. Puis
à la fin de l’année, elle collecte de l’argent et leur achète des habits légers
et neufs pour l’été et les leur offre comme cadeaux pour la fête de fin
d’années.
Faire attention face au danger
Pour mener une vie saine, il faut manger les fruits et les légumes,
être propre et bien dormir. De plus, il
faut faire attention à la maison quand on a des travaux à faire. Prenant
l’exemple d’une vieille dame qui monte sur une échelle alors qu’elle est seule
à la maison. Donc, il ne faut pas risquer la vie en accrochant un rideau ou en
changeant une lampe. Bien au contraire, il faut
se méfier quand on monte sur une échelle ou quand on grimpe aux arbres
pour cueillir des fruits. De même, Il faut faire très attention en utilisant
les produits toxiques. Il ne faut pas les laisser à la portée des enfants ou
près du feu. Aussi, quand on nettoie les fenêtres ou quand on monte sur la
terrasse, il faut être attentif.
Si j’ai un conseil à donner aux femmes âgées, je leur
dirais : « Chères dames, laissez les gros travaux aux hommes ou
faites-les vous-même si vous vous portez bien mais à condition de ne pas être
seules à la maison. Il faut au moins avoir quelqu’un avec vous pour vous sauver
en cas d’accident. »
Le portrait : Une étrange rencontre(1)
L’automne venu, je suis parti(e) de ma ville pour me distraire.
J’ai pris la direction de la plage. Quand je suis arrivée, j’étais surprise de
trouver l’endroit désert.
De loin, je pouvais voir que la mer a monté : une angoisse me
prit, j’ai regretté d’être venu(e). Sous le soleil, sans les baigneurs, sans
leurs rires et leurs cris, ce coin était lugubre. Je me sentais perdu(e),
livré(e) au danger, loin de tout secours possible. Soudain, une créature
miraculeuse surgit du fond de l’eau. Plus elle avançait, plus je
m’étonnais : était-ce un rêve ou une réalité ? Je la regardais, je la
fixais : ses cheveux noirs qui cachaient ses joues, ses jambes et ses bras
si longs ; ses yeux qui concentraient toute la flamme de son existence lui
donnaient un air bizarre. Elle était grande, mince et brune. Un sourire
éclatant embellissait son visage rond. Un sentiment étrange m’envahit, je
m’avançai vers elle, elle s’avança vers moi. Je me trouvai près d’elle sans
m’en apercevoir : « Vous êtes belle »dis-je simplement. Alors,
sans répondre, elle se retourna en direction de la mer, hâta le pas et se jeta
dans l’eau. Sans comprendre ce qui m’arrivait, je m’y jetai pour la rattraper
mais je ne la trouvais pas, c’est comme si elle s’était évaporée dans l’air ou
s’était enfoncée dans un trou.
Pétrifiée, sentant les jambes molles, le dos glacial, je pris le
chemin de retour et depuis, je ne suis plus revenu(e) à cet endroit.
Un clown présentant un numéro au cirque(1)
Pendant les vacances, je me suis rendu€ au cirque avec ma famille.
J’étais impressionné(e) par la variété des numéros. Ce qui m’a attiré(e) le
plus, c’est celui des clowns : trois sont montés sur scène. Ils portaient
des ballons multicolores. Lulu tenait une guitare. Loulou est le meilleur, il
tenait un pigeon blanc à la ma. Ses yeux étaient trop maquillés, il avait de
grosses moustaches très épaisses. Son nez était gros et rouge et il était
coiffé d’un chapeau multicolore très pointu. Il était vêtu d’un large pantalon
à carreaux et d’une chemise à rayures. Aux pieds, il portait de grandes
savates. Il caressait le pigeon avant de la laisser s’envoler au dessus des
spectateurs. Quelques secondes après, l’oiseau revient sur le chapiteau et
repassa sur la tête de Loulou.
Quel beau spectacle !
Un clown présentant un numéro au cirque(2)
Au cirque, tous les
enfants se distraient. Une multitude de numéros se présente. Mais celui qui
attire surtout les petits est celui du clown.
En effet, celui-ci a l’air amusant. Il porte une combinaison
rapiécée et multicolore, un chapeau
pointu et des chaussures à l’envers. Il a une tomate à la place du nez. Son
visage est enfariné.
Il fait rire petits et grands. Il plaît aux spectateurs qui à son
arrivée redoublent les acclamations. Il joue de la guitare, fait éclater des
ballons, verse de l’eau dans son oreille et le fait sortir de sa narine.
Quel
merveilleux clown !
L’importance de l’arbre
L’arbre est précieux. D’abord, il purifie l’air et nous donne de
l’oxygène. Ensuite, l’arbre nous protège de la pluie et du soleil. Enfin, il
nous offre protection et nourriture.
L’importance de la forêt
La forêt est bénéfique. Il faut la respecter. D’abord, elle est
l’abri des animaux car elle les protège des dangers externes qui peuvent les
menacer. Ensuite, c’est le lieu où les chasseurs se rendent. Enfin, la forêt
est pleine d’arbres qui offrent l’air pur et l’oxygène.
La protection de la nature
·
Il
ne faut pas arracher les arbustes et les fleurs.
·
Il
ne faut pas piétiner les plantes.
·
Il
ne faut ni casser les branches des arbres ni abîmer leurs troncs.
·
Il
ne faut pas gaspiller l’eau.
·
Il
ne faut pas tronçonner les arbres, ils offrent protection et nourriture.
·
Il
faut arroser les fleurs.
·
Il
faut planter des arbustes.
·
Il
faut tailler les arbres.
·
Il
faut retourner la terre.
·
Il
faut débarrasser les jardins et les champs des mauvaises herbes.
L’écologie
L’écologie est l’affaire de nous tous. Nous devons protéger
l’environnement et ne plus continuer à le salir. Les eaux usées et les
mauvaises herbes attirent les mouches. Les déchets et les ordures déposés hors
des poubelles salissent nos villes et les décharges sauvages défigurent le
paysage. Il faut être conscient du danger.
Le progrès technique
Le progrès technique
est une magie. Il facilite le travail et embellit la vie. Seulement, la technologie
a des avantages et des inconvénients.
Pour ce qui est des bienfaits, on peut dire qu’elle nous
procure le confort. D’abord, à la maison, la femme a la machine à laver,
beaucoup d’électroménager comme la friteuse qui lui facilite son travail dans
la cuisine ; comme aussi l’aspirateur qui l’épargne de la corvée du
ménage. Puis, à la maison, on trouve la télévision qui nous distrait après le
travail et l’école. Ensuite, l’ordinateur nous permet de naviguer sur Internet.
Ajourons le portable qui nous permet de joindre nos proches et nos amis et de
leur envoyer des messages. On peut aussi s’en servir pour prendre des photos.
Enfin, à l’hôpital, on trouve des appareils indispensables aux malades, par
exemple grâce au scanner, les médecins peuvent découvrir de quoi souffrent
leurs malades.
Quant aux méfaits, le
progrès technologique a des effets nocifs sur la planète. Il nuit à l’être
humain. D’abord, ça pollue l’air qu’il respire. Ensuite, la majorité des
enfants sont devenus esclaves aussi bien de la télévision que de l’ordinateur
et du portable par conséquent ils sont devenus passifs : à l’école, ils
sont inattentifs ; à la maison, ils sont désobéissants.
Le printemps
C’est le printemps, il fait beau. Le soleil brille. Le ciel est
bleu. Les arbres sont verdoyants. Dans les nids, les oisillons gazouillent tous
en chœur. Dans les champs, les papillons voltigent. Quel bonheur dans mon cœur,
je marche le nez en l’air.
Le sport
« Nada, peux-tu m’expliquer ce qu’on peut appeler sport ?
demanda Maya.
-
Le
sport est une activité physique, répondit Nada.
-
Quels
sont ses bienfaits ? rétorqua Syrine.
-
Ses
bienfaits sont multiples. Le sport est avant tout un loisir et un plaisir ,
expliqua Nada.
-
Quoi
encore ? intervint Yasmine.
-
Le
sport est très bénéfique pour la santé. Il nous détend, nous relaxe et nous
élimine les toxines.
-
A-t-il
d’autres effets ? interpella Mayada.
-
Bien-sûr,
puiqu’il permet aux jeunes de se défouler et de se défendre surtout quand ils
pratiquent le karaté par exemple, ajouta Nada. »
A la plage
Nous voilà arrivés. La plage est bondée de baigneurs. Mon père
plante le parasol. Ma mère s’allonge à l’ombre.
Quant à moi, je prends mon matelas pneumatique et je m’élance dans les
vagues.
Portrait d’un enfant
Je suis un garçon. Je m’appelle Ahmed. J’ai dix ans. Je suis grand
de taille. Mes cheveux sont noirs et raides. Mes yeux sont noirs et bridés. Mes
sourcils sont épais. Mon nez est aplati. Ma bouche est large. Mes lèvres sont
épaisses.
Je porte souvent des jeans et des tee-shirts. Je suis jovial et
dynamique.
Mon chien « Achille »
Un animal domestique à la maison rend la vie belle et rayonnante
surtout pour les enfants.
D’ailleurs, j’ai un chien nommé « Achille » : un
caniche qui me tient compagnie. Sa tête
est ronde. Ses yeux sont noirs comme des olives. Avec sa fourrure, il ressemble
à un petit agneau. Ses crocs sont fins mais aigus. Il aime jouer et gambader.
Le matin, il se lève tôt pour laper son lait avant que je parte à l’école. Le soir, il mange des pâtes avec un os. La
nuit, il se couche dans sa niche.
Sans « Achille », je ne pourrais pas vivre. Il chasse mes
ennuis et me donne goût à la vie.
Accepter les autres
Nous pouvons être différents des autres de part la couleur (noir ou
blanc ; rouge ou jaune), de part la langue (arabe, français, anglais,
espagnol etc.) ou de part l’origine (français, allemand, tunisien etc.).
Seulement, malgré nos différences, nous demeurons tous égaux devant la loi. En
effet, en dépit de nos dissemblances, nul ne peut nier que nous sommes tous des
êtres humains et que nous devrions par conséquent être solidaires. D’ailleurs,
nombreux sont ceux qui ont des amis de couleur. Personnellement, ma meilleure
amie est noire. Je l’estime beaucoup et elle plus qu’une sœur pour moi.
La solidarité
et l’entraide
La solidarité peut
s’adresser aux citoyens d’un même pays ou prendre la forme d’une aide
nationale. C’est la concrétisation de la fraternité. Cet état d’esprit pousse
les hommes à s’accorder une aide mutuelle.
Tel est le cas de nos jours suite à la révolution en Lybie. Le
retour des tunisiens, des égyptiens et d’autres étrangers en Tunisie a fait du
peuple tunisien un sauveur magique. En effet, fuyant à la violence et à la mort
en Lybie, les égyptiens et d’autres étrangers ont préféré se réfugier auprès des
tunisiens en attendant leur retour chez eux, dans leur pays. D’ailleurs, les
tunisiens ont fait preuve de beaucoup de solidarité. Ils sont généreux,
serviables et affectueux. Ils ont offert ce qu’ils ont pu comme nourriture et
médicaments. Ils ont installé des tentes pour les réfugiés. Ils ont fait appel au
croissant rouge pour sauver les personnes souffrantes. Ils ont aussi fait appel
aux citoyens et associations pour servir ces gens effrayés et stressés.
Vive la solidarité ! Tendez vos mains aux autres, vous serez
récompensés par dieu.
La gourmandise
et l’obésité
Je rêve toujours de manger tout ce dont j’ai envie :
sucreries, fruits et protéines. J’adore aussi les pattes et le couscous.
Un jour, j’ai trouvé un étranger qui fait de la magie et offre des
cadeaux. Alors, je lui ai demandé une touche magique qui transforme tout ce que
je mets la main dessus en nourriture. Alors la nappe de la table se transforme
en pizza, les fleurs se transforment en statues de chocolat. Même les chaises
et les tables se transforment en biscuit et j’étais très content et satisfait.
J’ai passé beaucoup de temps disposant de cette touche. Après quelques temps,
je me suis trouvé très obèse, moche et laid. J’ai fait du régime et du sport
pour perdre du poids mais en vain. Alors, il m’a fallu me rendre chez un
médecin diététique pendant des mois afin de perdre quelques kilos.
J’ai regretté ce vœu exaucé par le magicien qui m’a fait subir tant de
mal.
Sujet 1 :
Tu as fait la connaissance d’un garçon français ou d’une fille française.
Tu lui écris une lettre pour lui parler de ton pays (la Tunisie),
des tunisiens, de leurs traditions et
de leurs fêtes.
Sousse, le …………………………
Cher (chère)…………………….
Je t’écris cette lettre pour te dire que j’étais émerveillée en
visitant ton beau pays et que j’en garde pour toujours des souvenirs
inoubliables.
Maintenant, c’est à mon tour de te parler de mon pays pour te
convaincre à venir passer un séjour chez nous. J’espère te voir prochainement.
Eh bien, j’habite la Tunisie qui est située au nord de l’Afrique.
Pour te donner plus d’informations, j’habite particulièrement Sousse qui
est une ville touristique. On l’appelle la « Perle du Sahel ».
Les sahéliens sont des gens chaleureux et serviables. Ces derniers
s’intéressent à l’agriculture et au tourisme. Le Sahel est connu par son huile
d’olive raffiné qui est de très bonne qualité, elle est délicieuse. On a aussi
un pain très spécial qu’on fait cuire dans les « tabounas », tu les
verras à ton arrivée. Maintenant, je vais te parler de notre habit
traditionnel : c’est « la djebba » pour les hommes. On la porte
avec un pantalon large et court, une chemise en lin et un genre de gilet brodé.
Pour les femmes, c’est le « Safsari », c’est un simple tissu blanc ou
écru en soie très spécial. Je sais que tu es gourmand(e), alors je te dis que
notre plat célèbre est le couscous avec de la viande d’agneau et des
poichiches.
Dans l’attente d’une lettre proche de ta part, je te quitte en
espérant te voir parmi nous pendant les prochaines vacances.
Ton amie Imen
Sujet 2 :
Tanguy réussit bien son travail. Après quelques mois, le directeur
de l’usine le nomme chef chantier.
Fais-le parler de son
nouveau métier en y intégrant un court dialogue entre lui et les
ouvriers.
Le travail est une nécessité. On ne peut survivre sans avoir une profession et par là même un
salaire. Les métiers sont divers. Monsieur Tanguy par exemple est chef
chantier. Il était un simple ouvrier. C’est la raison pour laquelle il dit aux
autres employés : « Mais vous vous rendez compte, j’étais, il ya peu
de temps un employé et voilà que maintenant, je suis chef. C’est trop génial,
n’est ce pas ?
-
Certainement,
répondirent ses collègues, nous sommes heureux pour toi mais dis-nous ce que tu
as fait et explique nous en quoi consiste ton nouveau métier.
-
En
réalité, je n’ai rien fait, j’ai juste travaillé avec sérieux et ça n’a pas été
trop dur, mais maintenant le sérieux ne suffit pas car mon nouveau poste
demande une certaine sévérité, on pourrait dire que c’est un poste à
responsabilité. Je n’ai pas l’habitude de vous donner des ordres, chers
collègues, mais je vais me trouver dans l’obligation de le faire. Mais ne vous
en faites pas, je travaillerai autant que vous et je vous aiderai, l’essentiel
est d’être solidaires puisque l’union
fait la force, expliqua le chef chantier.
-
Ne
vous inquiétez pas, vous serez à la hauteur et nous serons obéissants et indulgents.
-
Merci,
vous êtes compréhensifs et aimables, ajouta le chef chantier.
Sujet 3 :
Au cours d’un reps en famille, tu assistes à une scène drôle.
Raconte ce qui se passe en utilisant des expressions comme au lieu de… ; éclater
de rire…
Dimanche dernier, j’ai été avec ma famille chez mon oncle. A midi,
ma tante et ma mère ont mis le couvert. Passés à table, on a commencé à manger
quand on entendit un bruit et on vit un steak s’envoler dans l’air. Au lieu de
couper la viande, mon cousin a fait tomber le couteau et le steak a quitté
l’assiette. Mehdi était gêné, il avança pour ramasser le couteau mais s’arrêta
net puisqu’il eut le hoquet. Il hoqueta bruyamment, essaya de se ressaisir mais
en vain. Tout le monde éclata de rire.
Sujet 4 :
Aujourd’hui, c’est
l’anniversaire de ta maman. Ton père, ta sœur et toi allez lui faire une
surprise. Raconte ce que vous avez fait.
C’était un jour comme tous les autres. Je me suis levé comme
d’’habitude, j’ai fait ma toilette, j’ai pris mon petit déjeuner et je suis
allé à l’école. En classe, quand j’ai écrit la date sur mon cahier de lecture,
j’ai réalisé que c’était l’anniversaire de ma mère.
Après avoir fini mes
cours, je suis rentré chez moi, j’ai appelé
mon père et ma sœur et on a
organisé la plus belle fête d’anniversaire. On a invité ses collègues. On a
décoré le salon. Ma sœur s’est occupée de la table. Elle a mis dessus une très
jolie nappe brodée. Mon père a acheté un délicieux gâteau aux fraises.
Et tous ensemble, on a fait pleurer maman de joie. C’était une
vraie surprise car même si on ne le croit pas, ma mère a totalement oublié que
c’était bien le jour de son anniversaire.
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